Le fonds de dotation Push a pour vocation d’aider les personnes les plus fragiles et les plus vulnérables porteuses de handicap. C’est donc une équipe particulièrement humaine qui est chargée d’animer Push dans son fonctionnement quotidien, et que vous aurez peut-être le plaisir de rencontrer si vous souhaitez nous solliciter pour vos projets.
Chrystelle, gestionnaire du fonds de dotation Push au quotidien
Chrystelle a vécu diverses expériences professionnelles dans des entreprises privées, mais son précédent emploi ne correspondait plus à ses envies ni à ses valeurs. Elle a donc tout naturellement accepté de prendre en main le fond de dotation Push, pour donner un sens plus humain à son activité quotidienne.
Pour mieux vous la présenter, nous lui avons posé quelques questions :
Qui es-tu ?
Au cours de ma carrière, je n’ai jamais cessé de chercher à aller de l’avant à travers les différentes expériences professionnelles, heureuses ou douloureuses, que j’ai eues la chance de vivre. J’ai toujours eu à coeur de compléter mes savoir-faire au moyen de formations complémentaires pour maîtriser les compétences requises pour chacun des postes qui m’ont été confiés. Ma conscience professionnelle et le courage dont j’ai hérité me permettent de travailler aux missions qui me sont confiées avec force, constance et détermination.
Qu’est-ce que représente le projet Push pour toi ?
Lorsque les fondateurs d’Handynamic m’ont parlé de la création d’un fonds de dotation permettant de venir en aide aux personnes handicapées moteur démunies à trouver les aides auxquelles elles peuvent légalement prétendre, j’ai tout de suite adhéré au projet ! D’autant que de par mes fonctions d’adjointe à la vie sociale de ma commune, j’avais déjà remarqué qu’il y a fort à faire !
Alors, lorsqu’ils m’ont demandé si j’étais partante pour assurer le développement des ressources de ce fonds de dotation, j’ai répondu « oui » sans hésiter ! Ils m’offraient la possibilité de mettre mes compétences au profit des personnes qui aujourd’hui en ont le plus besoin. Certes, j’ai beaucoup à apprendre de ce domaine, mais relever des défis ne me fait pas peur, même lorsqu’à priori je ne possède pas tous les atouts espérés sur un CV.
Qu’as-tu retiré de tes premières rencontres avec des personnes à mobilité réduite ?
J’ai beaucoup de respect pour les personnes à mobilité réduite, je les aborde comme des personnes normales. Et surtout, je les écoute ! Je me concentre sur la personne et sa personnalité et non sur le handicap. Lorsque l’on discute avec elles, on s’aperçoit qu’elles ont une philosophie de vie très différente de la nôtre mais bien plus simple aussi !